J'ai découvert un autre mystère... me concernant
J'ai regardé de nouveau les clichés de mon HSG et j'ai comparé avec des HSG que j'ai trouvées sur
le net. J'ai compris alors que j'avais un utérus en T, une malformation de l'utérus. Je pense que Patrick de Funès (l'ex médecin radiologue et fils de Louis de Funès) n'a pas tort : il
y a des radiologues pas très compétents...
L'utérus en T est pourtant très caractéristique, même pour un néophyte ou une simple patiente. Observez les deux photos ci-desssous et vous verrez immédiatemment la différence
entre les deux, il n'y a pas besoin d'avoir fait médecine pour comprendre...
Mon utérus ressemble à celui-ci à l'HSG
alors qu'il devrait ressembler à ça s'il était
normal.
Un utérus normal doit avoir la forme d'un triangle en HSG.
J'ai dû avoir 8 échographies dans ma vie avec 8 médecins différents, aucun n'a décélé cette malformation flagrante...
Ces échographies réalisées en 1 ou 2 mn m'ont toujours interpellée. Comment un médecin peut-il pratiquer un examen de dépistage aussi rapidement alors que les échographies de grossesse
durent de 10 à 45 mn ? On ne nous demande même plus d'avoir la vessie pleine si on ne va pas dans
un centre de radiologie, c'est vraiment n'importe quoi... Ils ont juste le temps d'encaisser les 57 euros, le même prix qu'une échographie de
grossesse, qui elle dure 10 à 20 fois plus longtemps... Ils redoutent de passer à côté d'une malformation chez le bébé mais ils n'ont pas de scrupule à envoyer une femme, qui a un cancer, au cimetière, qu'elle ait 25 ans ou 95
ans.
Pourtant avec une échographie faite correctement, il y a des signes indicateurs que la femme a une déformation de l'utérus, un utérus en T. La preuve est par ici. http://www.aly-abbara.com/echographie/Atlas_echographie/pages/serie_02/uterus_fille_DES.html
Quant au chirurgien, il n'avait rien vu au moment de l'opération... Il n'avait même pas vu le fond, il l'a
perforé... Avant l'intervention à l'écho 3 D, il avait vu un utérus cloisonné.On ne peut pas faire l'amalgame entre un utérus cloisonné et un utérus en
T.
Tout au moins, il ne l'avait pas consigné sur le CO... Ce dossier était une véritable embrouille, qui différait complètement de la version du labo. Le chir et le labo ne sont pas
d'accord sur la nature de l'intervention, c'est dire si les versions sont discordantes... Je me demande comment il a pu faire l'intervention qui est mentionnée, la castration, sur les résultats du labo...
Inutile de vous dire que j'ai maintenant une piètre image de la gynécologie médicale. Ces médecins se montrent souvent très cyniques, ils n'hésitent pas à humilier. Je pense qu'ils nous prennent pour des porte-feuilles uniquement lorsqu'on va les voir pour des saignements
en dehors des règles, ça ressemble à du foutage de gueule. Ils nous passent vite fait
entre 2 femmes enceintes, ils n'ont pas de temps à nous consacrer, on ne devrait pas faire partie de leur clientèle, ils n'ont pas choisi
de faire gynécologie pour les maladies... mais pour les grossesses normales ou pathologiques.
Se faire opérer
pour rien, pour un mauvais diagnostic et... se faire bousiller l'utérus, de surcroît, par un négligeant pressé d'aller manger (à 11H 45 c'était fini), qui pousse comme un forcené avec son hystéromètre en métal, qui se moque éperdument s'il perfore ou pas, je trouve ça inadmissible... Si on ne veut pas perforer on ne prend pas un hystéromètre en métal mais en plastique. Je
n'étais qu'une "vieille imbaisable, qui n'avait qu'une couverture chauffante et un chat pour se réchauffer"comme me l'a seriné le médecin anesthésiste et son équipe avant l'intervention au bloc opératoire. Ma vie n'avait aucune valeur pour ces individus...
En dehors des grossesses, je ne vois pas l'intérêt de les consulter. Je ne franchirai plus JAMAIS la porte d'un cabinet de gynécologue de ma vie. Chat échaudé craint l'eau
chaude... Cette médecine me révulse.
Il faut surtout compter sur sa chance car la médecine est parfois, et bien trop souvent, charlatanesque, pratiquée par des médecins sans
scrupule...
Une résection endométriale à l'anse ou "une castration". En France, on ne castre pas
définitivement les pédophiles mais on castre des femmes... sans leur consentement.
Rediffusion d'une note du 29/01/2010